Fabrice Pataut signera son recueil de nouvelles Un jeudi parfait (Pierre-Guillaume de Roux, 2018) le samedi 7 avril 2018, entre 10h30 et 13h00 à la librairie Simply, 9, rue Dupleix, 75015, Paris. Tel. : 01 47 34 17 90 ou 06 17 53 23 23
M° La Motte-Picquet ou Dupleix • Bus 80, 82 • RER Champ de Mars •
Michèle Venard lira "Le cas Perenfeld" un choix de nouvelles de Fabrice Pataut
au théâtre Pandora
le jeudi 2 février 2017 à 19h30.
Il faut impérativement réserver sa place. La lecture durera 55 minutes.
Théâtre Pandora 30, rue Keller 75011 Paris Code : 3256
Réservation : 01 42 39 21 61 / enperce@free.fr
Fabrice PATAUT et Gilles GHEZ collaborent pour la troisième fois avec les éditions
Manière noire, dirigée depuis Vernon par Monique Roncerel. Après les Gants aux
mains d’I. (1996) et Le Rhin (2002), voici Narcisse (2016).
Fabrice Pataut et Gilles Ghez ont également publié Cinq portraits de Lol (URDLA,
1991).
Gilles Ghez a par ailleurs illustré le roman de Fabrice Pataut Valet de trèfle (Pierre-
Guillaume de Roux, 2015) pour le numéro 82 (juillet/août 2015) de la revue
Préfigurations.
Théâtre de l'Agora d'Evry.
Commande du festival Concordan(s)e
"On passe sa vie dehors, par contrainte plus souvent que par choix.
Au commencement est l’expulsion, et le souffle éperdu après lequel on court, l’espace de quelques secondes, dans un silence assourdissant. Après quoi l’on est jeté dans des cours, bien mal
nommées de récréation, où l’on est hors d’haleine parce que les choses y sont diverses, imprévues, dangereuses sans doute, un peu cruelles."
L'Amérique irréelle de Fabrice Pataut
Sous le soleil de Californie, Fabrice Pataut nous plonge dans un monde étrange, reflet d'une Amérique en folie.
Par Jérôme Dupuis (Lire). Site de L'express
Nouveau site. Textes de Sarfati sur la série des toits. Un parcours extraordinairement riche de rencontres, de lieux. Une grande artiste. Promenez-vous.
Voyez au moins la série sur le nord et le magnifique travail 2"h qqpart en ville crée pour le premier festival Villes et toiles à Brétigny en 2007.
dans l'émission "Les retours du dimanche" sur France Culture,
Gwenola Wagon et Stéphane Degoutin présentent le Musée de l'imaginaire terroristedans le terminal 1 de l'aéroport Roissy Charles de Gaulle.
Ecouter l'émission:
Le reportage se situe vers la fin de l'émission, dans la rubrique "Le Chocesthétique" de Soline Ledésert.
Débat avec François Bonnet et Claude Lanvers, animé par Raphäl Yem.
Petite salle, entrée libre
"Les quartiers difficiles sont parfois désignés comme des « ghettos » : zones de non-droit, territoires de privation et de dangers qui doivent être craints et évités.
Pourtant la ségrégation urbaine ne s’exerce pas seulement dans des zones
défavorisées.
Les notions de communautarisme et de ghetto permettent d’analyser le fonctionnement des différentes sphères de la société : comment les différentes classes sociales organisent les limites de leurs territoires. Dans la ville aujourd’hui, où sont les frontières, où sont les ghettos ?"
Des infos. Ici
À l'occasion de la parution de la 3e édition d'Éloge du cinéma expérimental, Dominique Noguez présente un choix de films de Martin Arnold, Patrick Bokanowski, Gérard Courant, Helga Fanderl, Teo
Hernandez, Takashi Ito, Peter Kubelka, Christian Lebrat, Stéphane Marti, Pierre Reimer et Unglee.
Écrivain, professeur d'esthétique à l'université de Paris 1, critique à L'Art vivant dans les années 1970, Dominique Noguez a été, à cette époque, l'un des premiers en France à parler du cinéma
expérimental.
On y verra notamment Oratorio, 2008, 9' et Sur mon cou, 2009, 4'de Stéphane Marti, 2009
Toute la programmation sur le site de Beaubourg.
Stéphane MARTI nous a accordé un passionnant entretien à propos du numérique et sa limite. Dans le numéro 32 "La spirale numérique".
Et livré quelques coups de coeur de site dans notre numéro 40 "prefigurations en miroir".
Bastien a la trentaine. Il a passé son enfance en Corrèze dans un hameau isolé, au sein d’une famille aimante. À huit ans il tombe amoureux de Nicolas, un de ses camarades de classe, qui
disparaît peu après dans un accident de voiture. N’ayant pu consacrer sa vie à ce garçon, Bastien la consacrera aux hommes que le hasard mettra sur sa route.
Bastien est régisseur de théâtre, il aime aussi l’escalade, quand il n’est pas sur les plateaux il affronte les à-pics des grands causses de Lozère. En outre, depuis l’enfance, il s’habille
parfois en fille pour voir comment le monde alors apparaît et répond. Enfin il arrive qu’il ne soit ni au théâtre ni au grand air, ni habillé en garçon ou en fille, mais nu dans quelques films
pornographiques qui lui permettent d’allier l’utile à l’agréable.
C’est dans un de ces films que je l’ai vu pour la première fois. Je ne me suis jamais remis de la liberté insolente de sa présence.
Devant l’écran où je me tiens caché, à l’ombre de la lumière que Bastien projette, sans fin j’interroge le mystère de son apparition, le sens qu’elle confère à ma vie. Je tente ici de deviner
tout ce que les films où je le vois s’ébattre dérobent à ma vue (son enfance, son travail, sa famille, ses amours, ses habits), me laissant dans l’exercice conjugué du regard et du désir, dans la
contemplation d’un portrait lumineux et brutal à peaufiner pour les jours, désormais proches, où l’ombre gagnera.
Mathieu tel que nous l'avons rencontré: sensibilité et force indémêlables.
Critiques, portrait, lectures. Ici
Et sur prefigurations.com: numéro 42 (Paysages à dessiner)
et une rencontre au festival, lors d'une soirée Akerman, numéro 41 (Villes verticales, villes horizontales)
Un procédé révolutionnaire nous permettrait à présent d'aller fouiller simplement dans la mémoire de la peau. A partir du moindre échantillon de peau, toute la vie d'un être
humain peut ainsi être récapitulée et dévoilée par un procédé d'imagerie archéographique audacieux.
Qui mieux que Frankenstein alors pour nous faire la démonstration de la vaste palette des sentiments humains qui peuvent s'inscrire dans notre chair !
Entre science et magie, Humphrey Lapeau mène l'enquête. Les fragments de vie révélés sont surprenants et nous questionnent immanquablement sur la place du monstre dans notre société.
Un entresort animé de 12 minutes joué en boucle pendant 1h30 à 2 heures par Aymeric Reumaux. "la mémoire de la peau"
Sur prefigurations n°32 (avril 2007), Une nouvelle facette d'un même Objet l'entretien avec Reumaux sur le spectacle réalisé avec
Eolipile. Ici
Le sujet est unique: la maison qui se reflète tant dans nos yeux que dans ses propres miroirs. Le peintre met en abimes ces lieux originels créateurs d'histoire.
Une présentation jamais réalisée. Un regard.
Tous les jours sauf le lundi. 9-12h et 14-18h.
L'avis de l'éditeur Sandawe.
On est d'abord amusé, puis touché par ce dessinateur sans talent qui s'accroche contre toute évidence à l'espoir d'être édité. Le pinceau magique aurait pu être une grosse ficelle de scénariste.
Serge Perrotin échappe astucieusement au piège par un rebondissement totalement inattendu, qui dirige l'histoire vers des détours surprenants.
Jean-Marc Allais, dont c'est le premier album, surfe brillamment entre futurisme et rétro, dans des décors particulièrement spectaculaires.
Invité du numéro 12: L'AUTEUR EST TJS QQCH A CONFIRMER, le photographe Arnaud DELRUE est en couverture du numéro 11 de PHILOSOPHIE MAGAZINE
PREFIGURATIONS est aussi une association evryenne.
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