Pour cette première chronique, je ne vais pas parler d'une film avorté en particulier comme je le ferai à l'avenir (et oui, je maîtrise parfaitement l'art du teasing), mais plutôt faire la véritable cartographie d'un auteur – il mérite cette dénomination, lui – qui doit faire parti des plus malchanceux que la terre est porté : Terry Gilliam.